L’ajout de sucre candi au lambic fut une révélation du temps de Brueghel. (Certains avancent même que, sans Faro Lambic, Brueghel aurait été privé d’inspiration et serait resté un vulgaire peintre du dimanche dont les croutes n’auraient même pas trouvé acquéreur au marché aux puces.) Jusqu’au 19ème siècle, le Faro Lambic était très répandu dans la région bruxelloise. Le folklore y était fréquemment associé et le divin liquide coulait à flots.
Fiche technique